Cousine germaine du duc Charles III de Lorraine, elle est le premier enfant de Nicolas de Lorraine, comte de Vaudémont et duc de Mercur, ancien régent des duchés, et de Marguerite d'Egmont, issue d'une grande famille des Pays-Bas. Elle est l'aînée des quatorze enfants que son père eut de trois lits successifs. Elle n'a qu'un an lorsque meurt sa mère, Marguerite d'Egmont.
La seconde épouse de son père, Jeanne de Savoie-Nemours, se montre pour elle une belle-mère pleine d'attention, qui lui fait donner une solide instruction classique et l'introduit à la cour de Nancy à l'âge de dix ans. La troisième épouse de son père, Catherine de Lorraine-Aumale, de seulement trois ans plus âgée qu'elle et peut-être frustrée d'avoir dû épouser un homme de 26 ans son aîné et quitter la cour de France pour la bourgade de Nomeny, se révèle en revanche, d'une méchanceté avérée envers elle et ses demi-frères et surs issus du second lit de son père. À vingt ans, grande, blonde au teint blanc, aux yeux brun clair très doux, voilés par une légère myopie, la silhouette fine et racée, Louise de Lorraine-Vaudémont est belle, d'une beauté délicate et émouvante. Après l'assassinat de son époux par le dominicain Jacques Clément, le 1er août 1589, Louise, désespérée, prend le deuil en blanc des reines elle se voile de blanc d'où son surnom de « Reine Blanche ».
Dès 1589, elle reçoit le duché de Berry en douaire et le garde jusqu'à sa mort. Elle s'emploie dès lors à réhabiliter la mémoire de son mari, excommunié par le pape après l'assassinat du cardinal de Guise. Dès le 6 septembre 1589, un mois à peine après la mort du roi, elle demande justice à Henri IV. Le 1er octobre 1589, elle entreprend des démarches à Rome afin de réhabiliter Henri III. Le 20 janvier 1594, au cours d'une cérémonie à Mantes, la reine douairière vient solennellement demander justice au roi Henri IV.
Sépulture de la reine Louise. Elle habite pendant 11 ans le château de Chenonceau, reçu en héritage de sa belle-mère Catherine de Médicis. Elle installe sa chambre au deuxième étage, dont elle fait recouvrir les murs de noir.Le décor était plutôt funèbre avec les attributs ordinairement réservés au deuil : croix, pelles et pioches de l'inhumation, cornes d'abondance déversant des larmes. Ce décor noir et argent était reproduit sur les tentures du lit et des fenêtres. Mais ce château étant couvert de créances et n'ayant pas elle-même une énorme pension, elle le légua à sa nièce, la fille unique de son frère, qui deviendra duchesse de Vendôme (femme de César de Vendôme, fils illégitime d'Henri IV et de Gabrielle d'Estrée).
Elle mourut au château de Moulins, le 29 janvier 1601 et tous ses biens furent distribués ou servirent à payer ses dettes. En septembre 1603, une bulle pontificale ordonne la construction d'un couvent de Capucines à Paris afin d'y inhumer Louise de Lorraine, ce qui sera fait le 20 mars 1608. Ses restes, retrouvés en octobre 18051, se trouvent depuis 1817 dans la crypte de la basilique de Saint-Denis. C'est la seule reine antérieure à la Révolution à reposer réellement dans le tombeau portant son nom à Saint-Denis. Henri III , né le 19 septembre 1551 à Fontainebleau et mort assassiné le 2 août 1589 à Saint-Cloud, est roi de Pologne sous le nom d'Henri Ier (Henryk en Polonais) de 1573 à 1575 et roi de France de 1574 à 1589. Il demeure le dernier roi de la dynastie des Valois. Quatrième fils du roi Henri II et de la reine Catherine de Médicis, Henri n'est pas destiné à la couronne. Sous le règne de son frère Charles IX, il s'illustre comme chef de l'armée royale en remportant sur les protestants les batailles de Jarnac et de Moncontour. À l'âge de 21 ans, il se porte candidat pour le trône vacant de Pologne et le 11 mai 1573, il est élu sous le nom d'Henryk Walezy, roi de Pologne et grand-duc de Lituanie. Son règne ne dure pas plus d'un an, puisqu'à l'annonce de la mort de son frère, décédé sans descendant mâle, il abandonne son royaume pour lui succéder sur le trône de France.En devenant roi de France, Henri III hérite d'un royaume divisé où son autorité n'est que partiellement reconnue. Son règne se marque de sérieux problèmes religieux, politiques et économiques. Quatre guerres de Religion se déroulent sous son règne. Henri III doit faire face à des partis politiques et religieux soutenus par des puissances étrangères, qui finissent par venir à bout de son autorité, le parti des Malcontents, le parti des protestants et pour finir celui de la Ligue qui parvient à le faire assassiner. Il meurt à Saint-Cloud le 2 août 1589 après avoir été poignardé par le moine Jacques Clément.
Son emblème est constitué de trois couronnes symbolisant les royaumes de France et de Pologne ainsi qu'une devise qui explique la troisième couronne : « Manet ultima cælo » (« La dernière se trouve au ciel »). EN PARTICULIER SUR SON EXCELLENCE LE DUC DE MORNY. IMPÉRIALE, dont une chemise et une cravate de l'Empereur Napoléon III. D'AUTRES LETTRES ADRESSÉES A LA DUCHESSE DE MORNY, DES PORCELAINE DE SÈVRES AU CHIFFRE DE. L'EMPEREUR NAPOLÉON III AINSI QU'UN GRAND CHOIX DE SOUVENIRS HISTORIQUES SUR. L'item "HENRI III ET LOUISE DE LORRAINE HUILE SUR PANNEAU ENCADREE DEBUT XIXème" est en vente depuis le dimanche 9 décembre 2018. Il est dans la catégorie "Art, antiquités\Art du XIXe et avant\Peintures, émaux".Le vendeur est "ausecondempire" et est localisé à/en Paris. Cet article peut être expédié aux pays suivants: Amérique, Europe, Asie, Australie.